Avec le street art, les lieux ont de l'esprit. Les artistes urbains font de la rue un théâtre et arrachent par surprise un sourire au passant. Par le détournement visuel, ils jouent de la ville et de ses recoins inattendus pour en faire naître des images et des situations cocasses. Ou placardent des mots joyeux ou poétiques qui nous interpellent directement. Leurs oeuvres peuvent apparaître comme des bulles de joie, des parenthèses enchantées et éphémères. Mais elles échappent aussi souvent à la pure légèreté, auscultent la société, s'emparent des espaces habituellement dévolus à la publicité ou aux messages politiques. Colères et inquiétudes sur l'état du monde assaillent alors nos murs et teintent l'humour en noir. Quand le rire se fait tour à tour respiration et arme de combat. Les créations de 30 artistes français et étrangers - Banksy, Blu, Ella & Pitr, Jace, Levalet, Madame, Miss.Tic, Seth - sont présentées.
Cuba a longtemps été au carrefour du monde : un point de rencontre privilégié entre l'Europe et les Amériques. Dans les années 1930, l'écrivain cubain Lezama Lima avait ainsi accueilli la poétesse espagnole Maria Zambrano en lui disant : « Vous êtes ici dans les retrouvailles, dans la coïncidence et dans les îles. Vous êtes sur le chemin des illuminations caraïbes où tout se résout dans la lumière... » Ce livre unique, sous la forme d'un beau livre très graphique, raconte pour la première fois l'histoire extraordinaire de cette île au coeur des caraïbes, sous l'angle inédit de la musique et de la littérature : la mythique Cuba comme on ne vous l'a jamais racontée !L'histoire en images de la mythique Cuba à travers sa musique et sa littérature : le livre de l'émission à succès de France Musique « Carrefour des Amériques ».
« Il n'est pas plus exotique que l'Angleterre. », Henri Cartier- Bresson.
En 1962, Henri-Cartier Bresson accepte une commande photographique de la télévision britannique ITV/ABC afin de réaliser un documentaire sur le nord de l'Angleterre. Exhumé par la cinémathèque française quelque soixante ans plus tard, celui-ci n'avait été diffusé qu'une seule fois à l'époque. On y découvre des photographies inédites, brossant un portrait amusé de ces Anglais au travail et de leurs loisirs. En 1989, Martin Parr, photographe déjà reconnu bien que controversé pour ses photographies en couleur de la middle class britannique, notamment sur les plages du nord de l'Angleterre, présente sa candidature à l'agence coopérative Magnum, à laquelle Henri Cartier-Bresson s'oppose fermement. À plus de vingt ans d'écart, les visions de ces Anglais, capturées par les deux photographes, résonnent pourtant de façon troublante.
François Hébel revient dans un texte inédit sur cette « réconciliation » avec Henri Cartier-Bresson permise par l'image, ainsi que sur cette région géographique tant arpentée. Une nouveauté qui trouve pleinement sa place dans la collection Delpire Classiques.
De l'Asie à l'Amérique, de l'Europe au continent Africain, Raymond Depardon a passé sa vie à sillonner le monde. L' « Entre-temps » est pour lui cet espace dans lequel le temps se dissout, un endroit où il retrouve ses habitudes. C'est donc entre deux moments forts, entre deux voyages, qu'il va s'attarder à photographier les petites choses, à l'opposé de ce qu'il voit à l'étranger : des rues parisiennes connues, des cafés, des scènes de vie en famille, des détails de la ville, une forme de solitude urbaine qui le caractérise bien.
Chaque image devient alors un récit unique. Au contraire de certaines séries dans lesquelles les photographies s'enchainent pour créer une narration, les images d'Entre-temps fonctionnent en miroir : l'une répond à l'autre sur la double page du livre, par opposition ou par complémentarité. L'histoire est fragmentée, plus libre, prompt à être réinventée. L'espace-temps est perdu de manière volontaire et devient presque inutile.
L'ouvrage Entre-temps célèbre cette force qu'a l'artiste de projeter des détails de sa propre vie pour les faire résonner dans la nôtre.
En 1954, juste après sa mort, les biens de Frida Kahlo sont enfermés dans la Casa Azul à Mexico, la « maison bleue » où elle a vécu toute sa vie. Un demi-siècle plus tard, sa collection de vêtements, de bijoux, de cosmétiques et d'autres objets personnels a été retrouvée dans des malles, des armoires, des tiroirs, la salle de bain et la cave de la Casa Azul.L'exposition du Palais Galliera qui s'ouvre en septembre 20022, présentée pour la première fois au Mexique entre 2012 et 2014, puis en 2018 au V&A Museum, à Londres, offre une perspective nouvelle sur l'histoire de cette artiste extraordinaire, dont le charisme et l'incroyable sens du style et de la mise en scène continuent de captiver. L'ouvrage montre sa garde-robe, ses vêtements mexicains traditionnels ainsi que ses célèbres autoportraits : une association sans précédent qui permet d'illustrer le parcours unique d'une des artistes les plus connues au monde, véritable icône.Le catalogue est une adaptation du catalogue créé par le V&A, qui a connu un très grand succès.
L'oeuvre de Munch (1863-1944) occupe dans la modernité artistique une place charnière. Elle plonge ses racines dans le XIXe siècle pour s'inscrire pleinement dans le siècle suivant. Son oeuvre tout entier des années 1880 à sa mort, est porter par une vision du monde singulière lui conférant une puissante dimension symboliste qui ne se réduit pas aux quelques chefs-d'oeuvre qu'il a créés dans les années 1890. Tout au contraire, ce catalogue propose une lecture globale de son oeuvre mettant en avant la grande cohérence de sa création, plutôt que d'opposer un symbolisme fin-de-siècle à un expressionnisme qui ancrerait Munch dans la scène moderne. Son approche picturale se construit principalement à partir de cycles ; Munch exprime fréquemment l'idée que l'humanité et la nature sont inexorablement unies dans le cycle de la vie, de la mort et de la renaissance. Dans ce cadre, il élabore une iconographie inédite, en grande partie inspirée par les philosophies vitalistes, notamment de Friedrich Nietzsche et d'Henri Bergson. Cette notion de cycle intervient ainsi à plusieurs niveaux dans l'oeuvre de Munch. Elle y est présente aussi dans la construction même de ses toiles, où certains motifs reviennent de façon régulière. Ce que ce livre nous propose de nouveau : une nouvelle lecture de la création de cet artiste aux oeuvres autant remarquables qu'insolites.
Le catalogue de l'exposition « Monet Mitchell », organisée à la Fondation Louis Vuitton en partenariat avec le musée Marmottan Monet, explore les correspondances entre les oeuvres tardives de Claude Monet (1914-1926), qui anticipent les débuts de l'abstraction, et les peintures de Joan Mitchell (1925-1992).
Peintre américaine issue de l'expressionnisme abstrait, Joan Mitchell voyage en France dès 1948 et s'installe en 1968 à Vétheuil, lieu d'inspiration où vécut aussi Monet de 1878 à 1881.
Les chefs-d'oeuvre et les essais ici réunis soulignent les points de convergence liés à la couleur, à la lumière, à la gestualité, à la nature et aux paysages de Giverny et Vétheuil, qui ont profondément inspiré les deux artistes.
Joan Mitchell (1925-1992) n'a jamais craint d'expérimenter, créant de ce fait des oeuvres d'une beauté, d'une force et d'une intensité émotionnelle inégalées. Retraçant le parcours d'une artiste majeure, cet ouvrage témoigne de la façon dont Mitchell a su élargir le champ de la peinture abstraite et éclaire les contextes qui, de part et d'autre de l'Atlantique, l'ont façonnée et ont sous-tendu son parcours. Les somptueuses illustrations qui accompagnent ce livre couvrent l'ensemble de sa carrière - des exceptionnelles peintures new-yorkaises du début des années 1950 aux majestueux polyptyques qu'elle exécutera plus tard en France. Sont reproduits ici des oeuvres iconiques de Mitchell, mais aussi des tableaux rarement vus, des oeuvres sur papier, des carnets de dessins et des photographies documentant sa vie, ses cercles d'amis et de relations, son environnement quotidien. Réunissant des textes inédits d'historiens de l'art et de spécialistes, des analyses d'oeuvres, des témoignages d'artistes et d'écrivains sur l'itinéraire de l'artiste, ce livre s'organise chronologiquement en dix chapitres, chacun centré sur une suite d'oeuvres étroitement reliées et révélatrices d'un paysage intérieur en constante évolution, coloré par l'expérience, les sensations, les souvenirs et un sens profond des lieux. Par les multiples perspectives qu'il ouvre sur l'art de Mitchell, sa biographie, son rapport à la poésie et à la musique, cet ouvrage sans précédent est appelé à devenir la référence incontournable pour ceux qui admirent déjà Joan Mitchell ainsi que pour ceux qui la découvriront. Cet ouvrage est publié en français à l'occasion de la rétrospective « Joan Mitchell » présentée à la Fondation Louis Vuitton.
Musicien, compositeur mais aussi dissident politique, Fela Kuti (1938-1997) est surtout l'inventeur d'un style : l'afrobeat. Des clubs nigérians aux scènes européennes, Fela a fait de sa musique une arme pour dénoncer la corruption et les mentalités néocoloniales. À partir d'archives et de photographies inédites, portées par les regards d'une vingtaine d'auteurs et autrices du Nigeria et d'ailleurs, ce livre rend un hommage magistral au « Black President », dont l'héritage est omniprésent à travers le monde.
Né en 1946 à Paris, peintre et sculpteur, Gérard Garouste est l'une des figures majeures de l'art contemporain français. Après des études à l'École des Beaux-Arts de Paris, Garouste débute une carrière de scénographe dans les années 70. En 1977, il présente un spectacle total au théâtre parisien « Le Palace », en tant qu'auteur, metteur en scène et décorateur. La reconnaissance en tant qu'artiste s'amorce avec sa première exposition d'art en 1980 à la galerie Durand-Dessert à Paris, où il montre des oeuvres figuratives, mythologiques et allégoriques.
Contrairement à une idée reçue, le blanc est une couleur à part entière, au même titre que le rouge, le bleu, le vert ou le jaune. Le livre de Michel Pastoureau retrace sa longue histoire en Europe, de l'Antiquité la plus reculée jusqu'aux sociétés contemporaines. Il s'intéresse à tous ses aspects, du lexique aux symboles, en passant par la culture matérielle, les pratiques sociales, les savoirs scientifiques, les morales religieuses, la création artistique.
Avant le XVIIe siècle, jamais le blanc ne s'est vu contester son statut de véritable couleur. Bien au contraire, de l'Antiquité jusqu'au coeur du Moyen Âge, il a constitué avec le rouge et le noir une triade chromatique jouant un rôle de premier plan dans la vie quotidienne et dans le monde des représentations. De même, pendant des siècles, il n'y a jamais eu, dans quelque langue que ce soit, synonymie entre « blanc » et « incolore » : jamais blanc n'a signifié « sans couleur ». Et même, les langues européennes ont longtemps usé de plusieurs mots pour exprimer les différentes nuances du blanc. Celui-ci n'a du reste pas toujours été pensé comme un contraire du noir : dans l'Antiquité classique et tout au long du Moyen Âge, le vrai contraire du blanc était le rouge. D'où la très grande richesse symbolique du blanc, bien plus positive que négative : pureté, virginité, innocence, sagesse, paix, beauté, propreté.
Accompagné d'une abondante iconographie, cet ouvrage est le sixième d'une série consacrée à l'histoire sociale et culturelle des couleurs en Europe.
Qu'est-ce qu'une contre-culture a? l'heure de l'image sur Internet ? Depuis une génération, quantité de photographes prennent le contre-pied des standards technologiques. Ces alternatives sont si nombreuses et passionnantes que l'idée d'un livre pour les rassembler s'est imposée. Éthique et écologie irriguent une création photographique en complète réinvention et rematérialisation.
Cet ouvrage parcourt l'histoire de la photographie, depuis son invention en 1827 jusqu'à ses usages contemporains, à travers les collections du musée Niépce riches de 4 millions de photographies, 8 000 appareils et 30 000 revues et livres techniques ou illustrés. Hors des sentiers battus, voici une "autre histoire" de la photographie qui s'intéresse au medium dans sa diversité ainsi qu'aux différentes voies empruntées par la photographie : publicité, mode, industrie, judiciaire...
Cet ouvrage sans précédent met en lumière l'art encore méconnu du tissage africain. De l'Afrique de l'Ouest à celle de l'Est en passant par le Mali, le Cap Vert, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun, le Congo jusqu'à Madagascar, ces pages vous plongent dans un panorama de créations textiles éblouissant. Organisé de manière géographique et présentant les particularités de chaque territoire, le livre invite à découvrir des pièces uniques au sein des cultures qui les ont façonnées. Les oeuvres, pour certaines encore inédites, proviennent de collections publiques (musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris, Metropolitan Museum de New York, Musée d'ethnologie de Lisbonne, British Museum de Londres etc.) ainsi que de collectionneurs particuliers. Tenture nuptiale, vêtements du quotidien (boubou, pagne, tunique, châle ...) ou encore tenues talismaniques, riche est le répertoire de textiles commentés.
Coton, laine, soie, écorce battue, perles : les matériaux se succèdent au fil des pages en une myriade de techniques et de couleurs. De l'ikat au "velours du Kasaï" - qui a inspiré les artistes contemporains tels que Klee et Matisse -, l'inventivité plastique et esthétique déployée par les artistes africains témoigne d'une imagination intarissable dans l'art du tissage.
Alliant la qualité graphique à l'expertise scientifique, les 200 notices et leurs 300 illustrations, offrent un éventail chamarré de motifs et de matières, qui ravira le regard des amateurs et des connaisseurs.
Le musée Soulages consacre son exposition d'été à Fernand Léger. Cette exposition rétrospective, témoigne de l'oeuvre du peintre et de cette modernité à laquelle il se réfère sans cesse. En explorant la pure frontalité et le contraste de formes chez Fernand Léger, cette présentation tracera un parcours à travers trois thèmes principaux : la ville moderne et le machinisme, thèmes chers à l'artiste et auxquels il consacre de grands tableaux dès les années 1920 ; le monde du travail et les loisirs. Selon Léger, l'artiste a un rôle à jouer dans la société : celui de concilier la modernité à l'esprit populaire. Avec des essais des commissaires de l'exposition, Benoît Decron, directeur du musée Soulages et Maurice Fréchuret, historien de l'art, de Julie Guttierez, conservatrice du musée national Fernand Léger, Ariane Coulondre, conservatrice du service des collections modernes du Musée national d'art moderne-Centre Pompidou et un essais à caractère biographique de Nelly Maillard, responsable des collections au musée national Fernand Léger.
L'histoire du Suquet, légendaire restaurant de l'Aubrac, et de la famille Bras.
Avec ce livre très attendu, Sébastien Bras, fils du célèbre chef Michel Bras, nous ouvre les portes de son restaurant, Le Suquet, qui offre des vues spectaculaires sur le plateau de l'Aubrac. À travers des archives personnelles, des photographies de l'Aubrac en toutes saisons et quarante recettes emblématiques, Sébastien Bras raconte l'histoire de sa famille dans laquelle la cuisine s'est transmise de génération en génération tout en étant réinventée. Ancrée et façonnée par la terre, la cuisine de Sébastien Bras est une cuisine du végétal, où les cueillettes sauvages, le potager familial et le travail des producteurs locaux sont sources inépuisables de créativité.
300 femmes peintres d'exception sur près de cinq siècles réunies dans un seul ouvrage.
Livre événement, qui fait suite au succès de 400 femmes artistes publié par Phaidon, 300 femmes peintres s'attache à dévoiler une version plus riche et plus diversifiée de l'histoire de la peinture. Couvrant près de 500 ans de technique et d'innovation, cette étude célèbre le travail de plus de 300 femmes artistes, des noms emblématiques de l'histoire de l'art aux figures montantes de l'art contemporain.
Les mers et les océans du monde en images à travers l'art, l'histoire, l'océanographie, la biologie marine et la culture.
Dernier volet de la collection « Explorer », Océans embarque le lecteur dans un voyage à travers les continents et les cultures à la découverte des multiples oeuvres réalisées par les artistes et les créateurs d'images inspirées du monde marin. Présentant la diversité des océans du globe, au-dessus et en dessous de la surface des vagues, ce panorama couvre un large éventail de styles et de techniques, des illustrations scientifiques aux sculptures en passant par les photographies sous-marine, la vidéo et les textiles, et adopte une progression visuellement étonnante avec des oeuvres qui, indépendamment de toute chronologie, sont judicieusement associées pour offrir des comparaisons intéressantes et révélatrices.
Avec une cuisine variée à l'histoire passionnante, le Portugal est une destination de choix pour tous les amoureux de gastronomie. Portugal : Le Livre de cuisine rassemble des recettes venues de toutes les régions du pays, des plats à base de poissons et de fruits de mer de l'Algarve aux ragoûts réconfortants de la vallée du Douro en passant par les célèbres pâtisseries lisboètes. Chef réputé, Leandro Carreira a réuni plus de 550 recettes traditionnelles faciles à reproduire à la maison et qui reflètent toute l'ampleur et la diversité de la cuisine portugaise, un pays dont l'influence gastronomique s'est répandue bien au-delà de ses frontières.
Le regard d'une initiée sur les maisons individuelles japonaises, leur diversité et leur évolution à travers les époques.
Connaisseuse avertie de l'art et de l'artisanat mis en oeuvre dans les intérieurs japonais, l'autrice Mihoko Iida offre un regard expert sur les aménagements des maisons individuelles de son pays. À travers 28 résidences d'exception, réparties dans plusieurs régions du Japon, des appartements urbains aux chalets de montagne et aux villas de bord de mer, ce livre présente des intérieurs minimalistes, des espaces de vie et de travail fonctionnels, mais aussi des demeures traditionnelles. Au fil des pages, Mihoko Iida rappelle à quel point le fait d'intégrer le paysage naturel dans les intérieurs fait partie de la philosophie japonaise. Elle décrit également les influences et les tendances qui sous-tendent l'évolution de l'architecture intérieure au Japon.
Cédric Pollet a sélectionné dans ce livre les écorces les plus spectaculaires, les plus graphiques et les plus étonnantes qu'il ait vues sur les cinq continents, et chaque photographie est une véritable oeuvre d'art. L'association d'un texte court et captivant à l'incroyable beauté des écorces fait de ce livre un ouvrage non seulement beau mais aussi passionnant, qui séduira tous les amoureux d'arbres et de nature. Chaque arbre est également photographié dans son environnement naturel et on apprend l'essentiel sur l'origine de l'arbre, son nom, son milieu naturel, ses particularités, ses usages éventuels.
Cette oeuvre monumentale est le fruit de plus de 30 années de travail de Pierre et Délia Vignes, qui ont scanné en très haute définition toutes ces plantes au fil des saisons, de façon à pouvoir les présenter sous la forme d'un herbier d'un genre nouveau, où tous les détails et caractéristiques sont rendus visibles.
D'une richesse scientifique et informative exceptionnelle, chaque planche révèle également la beauté intrinsèque des plantes et constitue une oeuvre d'art en soi. La botaniste Annie Aboucaya (du Parc national de Port Cros) et Nicole Marchal ont collaboré avec Pierre et Délia Vignes tout au long de leur travail, dans la rédaction des textes et la collecte des plantes.