En provenance directe d'Hawaii, la glisse accessible au plus grand nombre.
Le mode de déplacement à la rame debout sur une planche ou assis est ancestral et le stand up paddle (SUP) trouve ses origines dans la pirogue polynésienne, la va'a. Pratiqué à Hawaii dans les années 1960, le SUP a été éclipsé par le surf sur planche courte. C'est en 2004, toujours à Hawaii, que le SUP revient sur le devant de la scène et depuis son développement n'a cessé de croître. Par rapport au surf classique, le SUP est synonyme de plaisir immédiat. Ludique, accessible, convivial, le SUP est le meilleur moyen de découvrir l'environnement aquatique en mer, sur des lacs ou des rivières. L'avènement des planches gonflables a rendu ce sport encore plus accessible et sécurisant. Désormais, sur toutes les plages de France et du monde, vous trouverez toujours une planche de SUP à louer pour passer un bon moment sur l'eau seul, en famille ou entre amis. Avec une seule planche vous pouvez vous balader, surfer, descendre une rivière, faire du yoga ou du fitness. Bon pour le corps et l'esprit, le SUP devient très rapidement addictif ! Ce guide vous accompagne dans la découverte de toutes les pratiques qu'offre le stand up paddle grâce à une pédagogie simple et visuelle. Il donne tous les conseils pour perfectionner votre technique de rame et prendre un maximum de plaisir sur l'eau. Bonne session !
Le kitesurf est le dernier né des sports de glisse qui puise ses racines dans le surf, la planche à voile, le skate, le snowboard, le wakeboard et la voile. Inventé en 1984 par deux Bretons, Bruno et Dominque Legaignoux, le kitesurf a connu son véritable essor à la fin des années 1990 et connaît depuis un succès grandissant. Grâce à un matériel peu encombrant, le kitesurf est une invitation au voyage. Accessible, aérien, c'est aussi un sport extrême qui impose un apprentissage avec des moniteurs diplômés d'État. Sentir le vent et utiliser son énergie pour se déplacer en sécurité ne s'improvise pas et apprendre par ses propres moyens vous expose à des risques d'accidents. Au travers de ce guide, nous vous proposons de vous accompagner dans la découverte de ce sport aux sensations intenses. De la présentation du matériel jusqu'à votre premier saut, nous vous donnons tous les conseils pour progresser avec une pédagogie simple, complète et visuelle. Bienvenue dans la glisse en trois dimensions !
Le windsurf, c'est l'expression de l'équilibre parfait, de l'harmonie entre le vent, l'Homme et son matériel. Née dans les années 1950, la planche à voile est peu à peu sortie des médias après l'engouement des années 1970 à 1990. L'encombrement du matériel et sa technicité ont finalement eu raison de la passion de beaucoup. Début des années 2000, le windsurf renaît grâce à Jim Drake, un des inventeurs-pionniers, qui révolutionne l'apprentissage en mettant au point des flotteurs beaucoup plus compacts et extrêmement stables. Voiles et mâts évoluent aussi grandement. Ainsi, le windsurf est plus que jamais accessible à toutes et à tous, de 7 à 77 ans et de 7 à 77 noeuds.
Avec ce guide, nous vous proposons de découvrir ou redécouvrir ce sport grâce à une pédagogie simple, visuelle et ludique illustrée par des prises de vue originales. Vous découvrirez que le windsurf demande surtout de la finesse, de l'observation et de la patience mais c'est l'engin nautique le plus polyvalent qui existe.
Depuis les origines et les premiers Hobie Cat 14 puis Hobie Cat 16, le design des catamarans a beaucoup évolué et les constructions ont aussi progressé, permettant un apprentissage plus rapide et une navigation plus aisée. Au niveau de l'équipement, les catamarans de loisir peuvent être équipés d'un spinnaker, autrefois réservé aux modèles de régates, tout en restant accessibles et performants à la fois. Les catamarans modernes permettent de goûter à des sensations fortes, proches de celle windsurf tout en étant accessibles et tolérants. Avec la coupe de l'America en 2013 et ses bateaux de vingt mètres volant sur foil au-dessus de l'eau à 40 noeuds, le monde de la voile a connu une vraie révolution. Pour le moment, réservé à une élite mondiale, le catamaran sur foil deviendra accessible à tous et chacun pourra ainsi naviguer en légèreté, sans bruit avec seulement le souffle du vent comme musique de fond. Grâce à un vaste réseau d'écoles de voile, il est possible d'apprendre et de pratiquer ce sport tout au long de l'année sans se ruiner. Facile, convivial et parfois radical, le catamaran est un excellent moyen de découvrir l'environnement marin et d'apprivoiser le vent tout en s'amusant.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur saint Yves (1248-1303).
Était-il vraiment un juriste admirable ? Pourquoi cette piété des Bretons à son égard ?
Mais aussi : s'appelait-il Yves ou Erwan, Hélary ou Hélouri ? Que signifie son nom ? Était-il vraiment d'une famille noble ? Qui étaient ses amis ? Quelle(s) langue(s) parlait-il ? A-t-il fait le Tro Breiz ? Quels miracles l'a-t-on vu accomplir ? A-t-il rencontré saint Louis ou saint Thomas d'Aquin, ses contemporains ? Quelle est la part de la légende ?
Benoît Le Roux n'a laissé aucun aspect dans l'ombre. Il a lu toute la littérature précédente sur saint Yves, mais, avant tout, l'enquête de canonisation (en latin) de 1330, le seul texte qui fasse entendre les témoins de sa vie.
C'est donc avec rigueur, mais aussi avec une véritable empathie pour le personnage et pour l'époque, que ce livre a été écrit.
Plusieurs annexes (sur les miracles, le dicton et le cantique, etc.), une carte, des index, un abondant glossaire des termes historiques et religieux complètent cet ouvrage qui fera date dans la bibliographie du patron secondaire de la Bretagne.
Les dominicains français ont beaucoup écrit sur les Petites Antilles, où ils se sont rendus comme missionnaires au XVIIe siècle. Chacun a eu soin d'insister sur un aspect ou l'autre de la colonisation. À peine arrivé à la Guadeloupe, le père Pierre Pélican a donné ses premières impressions dans une longue lettre. Raymond Breton a rédigé plusieurs relations au cours des vingt ans qu'il est resté aux îles. Mathias Du Puis a raconté ses nombreux déboires avec le gouverneur de la Guadeloupe, Charles Houël. André Chevillard s'est extasié devant les fruits de la colonisation avant que Jean-Baptiste Du Tertre n'ait livré une grande fresque sur les établissements français des Petites Antilles. Les témoignages des dominicains français sont ainsi un précieux outil pour saisir la civilisation caraïbe et la colonisation française des îles au XVIIe siècle.
Ce second tome consacré aux missionnaires dominicains donne à lire trois des relations manuscrites de Raymond Breton, ainsi que son Petit catéchisme caraïbe publié en 1664 à Auxerre.
Carmes et capucins ont participé aux premières étapes de la colonisation française des Petites Antilles. Seuls deux d'entre eux nous ont laissé un témoignage de leur mission et de leurs actions : Pacifique de Provins (1588-1648) et Maurile de Saint Michel (1615-1659).
Les relations anonymes, qui retracent notamment la colonisation, sont nombreuses et portent en général le nom du lieu où elles ont été écrites. Pour les Petites Antilles, on connaît cinq relations, publiées ici : celle l'Anonyme de Carpentras, l'Anonyme de Saint-Christophe, l'Anonyme de Grenade, celle du "gentilhomme écossais" et celle de l'Anonyme de Saint-Vincent. Ces documents apportent un regard souvent original sur les événements et se démarquent des Histoires et Relations des religieux. Cet ouvrage est l'édition critique de ces documents.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.