Bien structuré à sa création, le Championnat monde des Constructeurs s'est peu à peu désagrégé au point de ne plus offrir de compétition susceptible d'intéresser les médias.
En 1982, la FIA décide donc de créer une nouvelle catégorie, le Groupe C. La formule plaît à Porsche, d'abord, qui affirme sa supériorité sur le monde de l'endurance, puis à Mazda. Jusqu'en 1990, les duels sont haletants. Ensuite, la Fédération lance les Sport 3,5 l, des voitures considérées comme des F1 carénées. C'est l'époque de la Peugeot 905, de la Toyota TS10 et de la Mercedes C291. Peu populaire, la formule est abandonnée fin 1993.
À partir de 1994, la discipline explose entre Europe et États-Unis, Automobile Club de l'Ouest et FIA. La multiplication des règlements et la superposition des calendriers conduisent à un éparpillement des championnats et à la dévaluation du produit avant que naisse, en 1998, sous l'impulsion du promoteur américain Don Panoz, l'American Le Mans Serie, compétition au règlement identique à celui des 24 Heures du Mans.
De quoi redonner un nouveau souffle à l'endurance et refaire d'événements comme Sebring ou Le Mans des rendez-vous dignes de ceux de l'endurance des années 1950.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des États-Unis, du Japon, du Venezuela, de Chine, du Brésil... C'est pour cette raison que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du monde d'endurance FIA. Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans se propose de faire revivre par le texte et l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ. Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Cet annuel officiel est un livre incontournable pour qui veut garder une trace d'un des plus grands événements sportifs annuels actuels.
LE livre incontournable en ANGLAIS pour qui veut garder une trace d'un des plus grands événements sportifs annuels actuels.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des Etats-Unis, du Japon mais aussi du Venezuela, de Chine, du Brésil. C'est pour cela que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du Monde d'Endurance FIA.
Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans, à travers la même équipe rédactionnelle, se propose de faire revivre par le texte mais surtout par l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la Préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ.
Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Des essais préliminaires à l'explosion de joie suivant le drapeau à damiers en passant par le pesage, la parade des pilotes et surtout les moments forts de chaque heure, rien ne manque. Pour les plus passionnés, un chapitre technique avec tableaux et statistiques finit de compléter l'ensemble. Et en faisant appel à des photographes reconnus, l'ambiance qui ne cesse d'évoluer entre fin d'après-midi, nuit et lever de soleil dans un décor différent de celui d'un circuit traditionnel est parfaitement restituée.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des Etats-Unis, du Japon, du Venezuela, de Chine, du Brésil. C'est pour cela que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du Monde d'Endurance FIA. Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans se propose de faire revivre par le texte et l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la Préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ. Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Des essais préliminaires à l'explosion de joie suivant le drapeau à damiers en passant par le pesage, la parade des pilotes et surtout les moments forts de chaque heure, rien ne manque. Pour les plus passionnés, un chapitre technique avec tableaux et statistiques finit de compléter l'ensemble. Cet annuel officiel est donc un livre incontournable pour qui veut garder une trace d'un des plus grands événements sportifs annuels actuels.
C'est par le biais du modèle réduit auto que Jean-Marc TEISSEDRE, ancien enseignant, a découvert sa vraie passion : les épreuves d'endurance. Sa nouvelle vocation a coïncidé avec le lancement de Auto Hebdo en 1976 où il a été élevé au rang de grand reporter. Jean-Marc est l'un des meilleurs journalistes spécialisé dans les épreuves d'endurance.
Alain BIENVENU, ancien enseignant, entre en 1976 à Sport Auto. Il passera ensuite à l'agence DPPI, collaborera à L'Année Automobile, puis à Auto Passion, L'Automobile magazine et Auto Plus.
Version anglaise de l'ouvrage officiel.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des Etats-Unis, du Japon, du Venezuela, de Chine, du Brésil. C'est pour cela que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du Monde d'Endurance FIA. Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans se propose de faire revivre par le texte et l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la Préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ. Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Des essais préliminaires à l'explosion de joie suivant le drapeau à damiers en passant par le pesage, la parade des pilotes et surtout les moments forts de chaque heure, rien ne manque. Pour les plus passionnés, un chapitre technique avec tableaux et statistiques finit de compléter l'ensemble. Cet annuel officiel est donc un livre incontournable pour qui veut garder une trace d'un des plus grands événements sportifs annuels actuels.
C'est par le biais du modèle réduit auto que Jean-Marc TEISSEDRE, ancien enseignant, a découvert sa vraie passion : les épreuves d'endurance. Sa nouvelle vocation a coïncidé avec le lancement de Auto Hebdo en 1976 où il a été élevé au rang de grand reporter. Jean-Marc est l'un des meilleurs journalistes spécialisé dans les épreuves d'endurance.
Alain BIENVENU, ancien enseignant, entre en 1976 à Sport Auto. Il passera ensuite à l'agence DPPI, collaborera à L'Année Automobile, puis à Auto Passion, L'Automobile magazine et Auto Plus.
Avec des photos inédites en couleur, Jean-Marc recrée, année par année, l'ambiance, passionnée, joyeuse ou dramatique de la course et de ses à côtés. La grande expérience de Jean-Marc lui permet de présenter ou de souligner de nombreux détails techniques souvent peu connus.
C'est une injustice que Jean-Marc Teissedre et les Éditions du Palmier ont voulu réparer en consacrant enfin un livre aux Sport & Prototypes créés par Guy Ligier. Il était le seul constructeur français évoluant à ce niveau à ne pas y avoir eu droit.
C'est grâce à des images issues, pour la plupart, des archives de l'agence D.P.P.I. que nous avons pu retracer les six années de cette aventure interrompue pour faire place à la Formule 1.
La marque Ligier venant de renaître en 2014 aux 24 Heures du Mans, nous ne pouvions pas laisser passer une si belle occasion de redonner vie au passé.
Passionné de sport automobile, Norbert Santos est devenu constructeur automobile faute de trouver des voitures à la fois performantes et sûres. Lassé de cette situation, il a développé en 1986 une Norma, nom associant la première syllabe de son prénom à celle d'un ami disparu lors d'essais. Ainsi est née la M4, transformée deux ans plus tard en M5.
Répondant à la demande de Marcel Tarres, Norbert construit un spyder avec lequel ce dernier remporte la Coupe Sport Proto Alfa Romeo. Le second déclic survient en 1994 lorsque Bernard Chambérod et Andres Vilarino, respectivement Champion de France et d'Europe de la Montagne catégorie voiture de sport, choisissent Norma. La marque de St-Pé-de-Bigorre prend son envol. Les victoires s'enchaînent, le respect suit.
Troisième étape majeure en 2003, lorsque sous l'impulsion de Guillem Roux, jeune ingénieur, Norma développe la M20. La voiture capable de challenger tout ce qui existe sur la marché. Castellana puis Malateste, s'imposent sur les pentes des courses nationales donnant des envies à d'autres concurrents. Avec l'évolution des règlements en 2013, les Norma deviennent des références. Simone Faggioli, cinq fois Champion d'Europe choisit Norma en 2014 année où Nicolas Schatz signe son second titre consécutif de Champion de France avec une M20 FC, ultime évolution de la M20. C'est cette progression linéaire qui est développée dans ce volume 1.
On y trouve aussi les premiers brins de vie de Norma sur les circuits. De l'imparfaite M14 aux valeureuses M2000 et les performantes M20 FC, de Daytona au Mans en passant par Sebring, Norma relève le défi d'une concurrence de plus en plus ardue. Aucun projet n'est irréalisable comme va le prouver Romain Dumas en remportant par trois fois avec une Norma la course de côte de Pikes Peak, la plus dure au monde de la spécialité.
Ce second volume sur les créations de Norbert Santos s'inscrit bien entendu dans le prolongement des travaux du constructeur de Saint-Pé-de-Bigorre dévoilés dans le volume 1. Cette fois, il est question de la M200P, seule LM P2 jamais construite selon le règlement de l'Automobile Club de l'Ouest. Bien entendu une place très importante est consacrée aux séries créées par Eric Van de Vyver, compétitions qui entre 2004 et 2018 ont vu les M20, M20 F, M20 FC et M30 finir d'assurer la renommée de Norma.
Il est également question de la Coupe de France FFSA des circuits, des séries TTE et Free Racing venues opportunément prendre le relais du VdeV et l'épanouissement du Championnat Belge d'endurance Belcar.
Cette fin de XXème siècle est aussi marquée par l'arrivée de la M30, premier prototype Norma fermé depuis 17 ans qui va, aussi bien en Road To Le Mans, qu'en Michelin Le Mans Cup ou en European Le Mans Series et outre-Atlantique dans la série IMSA Prototype Challenge marquer la capacité de Norbert Santos de développer une voiture compétitive répondant aux techniques d'avant-garde. Bien entendu toute cette activité se fait parallèlement à la présence de Norma à la pointe de la course de côte tant au niveau français, qu'européen voire mondial. Les titres de Sébastien Petit et Geoffrey Schatz, la main mise de Simone Faggioli dans la Championnat d'Europe FIA et son extraordinaire aventure à Pikes Peak en 2018 sont largement développés tant par le texte que par l'image.
Et alors qu'après la vente de la marque Norma fin 2017 au Groupe Duqueine, il pourrait bénéficier d'un repos bien mérité, Norbert Santos regarde avec intérêt les projets de Guillem Roux, à ses côtés depuis 2003, et de sa fille, Camille Santos-Gautré, au sein de la nouvelle entité Nova Proto qui a repris l'activité des prototypes Norma CN en parallèle de la sortie de nouvelles voitures Nova Proto.
Disparu il y a plus de onze ans, Bob Wollek est un champion atypique. Sportif de haut niveau, il s'est d'abord fait connaître par le ski, intégrant l'équipe de France des Killy et Périllat. Non sélectionné pour les JO de Grenoble, il se tourne alors vers sa seconde passion: le sport auto où il débute en 1967.
Le début d'une carrière de 34 ans au cours de laquelle il va devenir un des plus grands spécialistes mondiaux des courses d'endurance. Daytona, Sebring, Brands Hatch, Silverstone, le Nürburgring, Bob gagnera partout sauf au Mans où, victime d'une malchance incroyable il terminera maintes fois sur le podium, mais jamais premier. Bien que son nom soit intimement lié à celui de Porsche, il a conduit pour de nombreux constructeurs et côtoyé les plus grands noms de trois générations de champions de Graham Hill à Allan McNish en passant par Mario Andretti, AJ Foyt, Dale Earnhardt ou Henri Pescarolo.
Et des personnalités du sport automobile telles que Norbert Singer, Reinhold Joest, Manfred Kremer ou Cesare Fiorio ont tenu à apporter leurs témoignages sur ce champion hors du commun, fauché sur une route de Floride alors qu'il assouvissait une troisième passion, le vélo.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des Etats-Unis, du Japon, du Venezuela, de Chine, du Brésil... C'est pour cette raison que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du monde d'endurance FIA. Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans se propose de faire revivre par le texte et l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ. Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Des essais préliminaires à l'explosion de joie suivant le drapeau à damiers en passant par le pesage, la parade des pilotes et surtout les moments forts de chaque heure, rien ne manque. Pour les plus passionnés, un chapitre technique avec tableaux et statistiques finit de compléter l'ensemble. Cet annuel officiel est donc un livre incontournable pour qui veut garder une trace d'un des plus grands événements sportifs annuels actuels.
This is the official year book of the 87th Le Mans 24 Hours.
De notoriété mondiale, la course des 24 Heures du Mans attire des concurrents venus de France bien sûr, mais aussi de toute l'Europe, des Etats-Unis, du Japon mais aussi du Venezuela, de Chine, du Brésil.
C'est pour cela que l'épreuve est la pierre angulaire du nouveau championnat du Monde d'Endurance FIA.
Depuis 1978, l'annuel des 24 Heures du Mans, à travers la même équipe rédactionnelle, se propose de faire revivre par le texte mais surtout par l'image la course mais aussi ses préparatifs et la fièvre qui s'empare de la Préfecture de la Sarthe tout au long de la semaine précédant le départ.
Chaque voiture et leurs pilotes y sont présentés. Des essais préliminaires à l'explosion de joie suivant le drapeau à damiers en passant par le pesage, la parade des pilotes et surtout les moments forts de chaque heure, rien ne manque. Pour les plus passionnés, un chapitre technique avec tableaux et statistiques finit de compléter l'ensemble. Et en faisant appel à des photographes reconnus, l'ambiance qui ne cesse d'évoluer entre fin d'après-midi, nuit et lever de soleil dans un décor différent de celui d'un circuit traditionnel est parfaitement restituée.
Version anglaise de l'ouvrage officiel des 24h du Mans. Uk version for the official book of 24 Le Mans Hours 2018.
Depuis le 26 mai 1923 près de 3000 voitures ont participé aux 24 Heures du Mans écrivant une page conséquente de l'histoire du sport automobile. Des voitures dites de séries des premières éditions aux actuels prototypes LM P1 à moteur diesel turbo, c'est toute l'évolution d'un moyen de locomotion qui est venu dans la Sarthe faire étalage du savoir-faire de constructeurs aux noms prestigieux. Car c'est bien le gotha de l'histoire de l'automobile qui figure aujourd'hui sur le Livre d'Or des 24 Heures du Mans de Chenard & Walcker à Peugeot en passant par Lorraine Dietrich, Bentley, Alfa Romeo, Lagonda, Bugatti, Delahaye, Ferrari, Jaguar, Mercedes Benz, Aston Martin, Ford, Porsche, Matra, Mirage, Renault, Rondeau, BMW, Audi et Peugeot. La course comme banc d'essais de la technologie, ce principe est toujours d'actualité aujourd'hui. Moteurs, pneus, phares, boîtes de vitesse, freins, il n'est pas un composant qui ne soit testé dans cette épreuve dont la renommée mondiale vaut, en cas de succès, toutes les retombées médiatiques possibles et imaginables.
Le but de cet ouvrage est donc de regrouper par l'image la totalité des voitures qui ont pris part à la course, de la plus prestigieuse à la plus humble, confiées aussi bien à des champions de légende qu'à des pilotes moins connus et parfois même anonymes...