Comment devient-on vigneron ?En 2014, lorsque Valentin Morel quitte son emploi de fonctionnaire pour revenir au vignoble familial, il se heurte tour à tour aux invasions de mouches, de mildiou, aux printemps hivernaux et aux étés caniculaires. Il comprend que cultiver la terre aujourd'hui, c'est vivre au jour le jour les conséquences du dérèglement climatique.Au plus près du terrain, le jeune vigneron fait le récit de son retour à la terre et de sa conversion à l'agriculture biologique et aux cépages hybrides. Défendant le travail manuel comme un engagement intellectuel et politique, il propose une réflexion personnelle sur notre relation au travail, à l'éthique et au terroir.
Ce livre est une invitation joyeuse à faire une promenade drôle et iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression "peigner la girafe", se rappeler les petits trains électriques, la guitare de Tino Rossi, les télégrammes de première et les speakerines de la télévision...
C'est un livre impossible, tant la notion d'inutile est sujette à caution. L'homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L'idiot du village moins nécessaire que le membre de l'Institut ?
Ce dictionnaire se plaît à musarder en vantant les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, en trouvant le plaisir d'écouter la météo marine quand on est sous la couette ou en admirant la virtuosité des joueurs de yoyo.
Un livre aussi indispensable qu'inutile.
Ce livre serait une promenade joyeuse, drôle, iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression « peigner la girafe », se rappeler les petits trains électriques, la guitare de Tino Rossi, les télégrammes de première et les speakerines de la télévision...
Ce serait un livre impossible, tant la notion d'inutile est sujette à caution. L'homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L'idiot du village moins nécessaire que le membre de l'Institut ?
Ce serait un livre qui musarderait, vantant les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, le plaisir d'écouter la météo marine quand on est sous la couette, la virtuosité des joueurs de yoyo.
Un livre aussi indispensable qu'inutile.