Quelle veinarde cette souris ! En faisant le ménage, elle a trouvé un sou. Elle va pouvoir s'acheter de la viande ! Oui, mais voilà... pendant la nuit, un voleur aux accents de Rapetou et d' Ali Baba lui en dérobe la moitié.
Furieuse, elle file droit chez le juge préparer sa riposte. Attention ! la vengeance est un plat qui se mange froid !
Connaissez-vous le fou qui était sage ? Il se nomme Nasreddine Hodja et ses brèves histoires ont fait le tour du monde. Nasreddine est un personnage dont la célébrité dépasse les siècles, les générations et les âges. Il est connu dans le monde arabo-musulman sous différents noms : en Turquie, Iran et Pakistan, il est Nasreddine Hodja . dans le monde arabe, il s'appelle Djeha, Jiha, Goha, Ch´ha..
Dans d´autres lieux, il est l´idiot, le simple ou le fou-sage. Un livre audio de plus de 50 histoires tout en sagesse, à la lisière de l´absurde et de la raison. Petits et grands malins y découvriront, derrière le rire, des vérités simples et lumineuses comme le jour.
Un livre audio pour tous les âges. Tous publics dès 9 ans.
Réunis pour une nuit par trois femmes génies, Mam, prince d'Occident, et Zin, princesse de Botan, s'éprennent d'un amour fou. Se soumettant au destin, ils échangent au matin bagues et serments. Commence alors une quête d'amour où chacun vit l'absence de son bien-aimé comme un manque qui l'empêche de vivre. On découvre la pudeur d'un peuple kurde montagnard qui parle d'amour par signes et mots cachés, qui ouvre son coeur et sa maison à l'étranger, qui l'accepte et le protège sans restriction. Une histoire belle, attachante et merveilleuse, pleine de surprises et de rebondissements.
"Un homme avait trois filles. Mahrou, la benjamine, était la plus belle et la plus douce. Un jour, l'homme était en train de ramasser des broussailles sèches, quand soudain un serpent lui coupa le chemin : «Je suis le prince serpent. Donne-moi ta fille Mahrou en mariage, sinon je te tue !" «Ce conte porte le titre du Prince Serpent, mais c'est bien Mahrou, la femme, qui en est le personnage principal. Un conte extrêmement riche qui se déroule à la frontière du monde des humains et de celui des génies.» Un conte fleuve illustré, comme tous les titres de cette collection, par une illustratrice iranienne de renom : Azadeh Madani, une artiste dont la jeunesse apporte un vent de fraîcheur à ce conte. "Les illustrations traduisent avec délicatesse et intelligence l'étrangeté du récit, le charme de cette belle histoire d'amour." LA REVUE DES LIVRES POUR ENFANTS, sélection annuelle 2009, p 30,COUP DE COEUR
Connaissez-vous le fou qui était sage ? Il se nomme Nasreddine Hodja et ses brèves histoires ont fait le tour du monde. Nasreddine est un personnage dont la célébrité dépasse les siècles, les générations et les âges. Il est connu dans le monde arabo-musulman sous différents noms : en Turquie, Iran et Pakistan, il est Nasreddine Hodja ; dans le monde arabe, il s'appelle Djeha, Jiha, Goha, Ch'ha... Dans d'autres lieux, il est l'idiot, le simple ou le fou-sage. Un livre audio de plus de 40 histoires tout en sagesse, à la lisière de l'absurde et de la raison. Petits et grands malins y découvriront, derrière le rire, des vérités simples et lumineuses comme le jour.
Lu par Jihad Darwiche
Durée : 1 heure 15 min
Connaissez-vous le fou qui était sage ? il se nomme nasreddine hodja et ses brèves histoires ont fait le tour du monde : petits et grands malins y découvriront, derrière le rire, des vérités simples et lumineuses comme le jour.
Un recueil de plus de 60 histoires tout en sagesse, à la lisière de l'absurde et de la raison.
Toujours aussi fou, toujours aussi sage, Nasreddine revient nous conter quelque 40 nouvelles histoires absurdes ou ironiques.
Depuis le VIIIe siècle , Nasreddine bouscule la raison, la religion, renverse l'ordre établi et pourfend la vanité et les comportements stupides.
A partir de 9 ans
Ce recueil regroupe 10 contes d'Orient, racontés avec talent par le grand Jihad Darwiche : aussi courts qu'efficaces, ses récits sont des concentrés de sagesse orientale. Mettant en scène tant des humains que des animaux, ils sont truffés de dialogues incisifs, qui les rendent extrêmement vivants.
Chacun d'eux est précédé d'un proverbe qui en traduit l'esprit : « Nos parents ont semé pour que nous mangions. Nous semons pour que nos enfants mangent. », « C'est par la ruse qu'on fait sortir le serpent de son nid. » Chaque conte est présenté sur deux doubles pages, avec des illustrations jouant sur des contrastes de couleur très forts, un peu à la manière des théâtres d'ombre. Une découpe au laser, placée sur un fond de couleur lui donne du relief et accompagne le récit.
Un recueil élégant qu'on aura plaisir à offrir.
Voici les contes proposés dans ce recueil : Le palmier qui donna trois fois - Le roi Salomon et le riche marchand - La souris et le lion - Le chameau et le sel - La queue du cheval - Les trois amis et l'or - Les deux frères - La patience - Le chacal et le lion - La parole de l'oud.
Pour Farshad, pauvre bûcheron, nourrir chaque jour les siens est difficile. Pourtant, il devient riche. Son voisin veut tenter sa chance.
Le goût du Paradis ; Layla ; Asma ; Marie ; Le goût du Paradis (Arabe) ; Layla (Arabe) ; Asma (arabe) ; Marie (arabe)
Dans une ferme, il y avait : une poule, un coq, un pigeon, un canard et un âne. Ils vivaient ensemble et ils s'aimaient beaucoup.
Un jour, la poule trouve quelques grains de blé et décide de les semer.
Elle appelle ses amis :
-Qui veut semer le blé avec moi
Il était une fois un homme et une femme. Elle s'appelait Farzaneh et parlait en roucoulant. Aussi son mari la surnommait «la colombe». Parviz était portefaix. Il marchait en sautillant. Aussi sa femme l'appelait «la sauterelle. Un jour, Farzaneh partit au hammam, mais elle le trouva fermé car la femme du grand devin du palais l'avait loué pour elle seule. Elle revint en colère et dit à son mari : «À partir de maintenant tu seras devin !»...
CD bilingue, 5 plages, accompagnant l'album.
Le conte en français est conté par Jihad Darwiche. Il côtoie la version persane contée par Parviz Abolgasemi. Des airs traditionnels interprétés par deux grands musiciens, Farshad Soltani et Babak Pezeshknia, ponctuent le disque.
Quelle veinarde cette souris ! En faisant le ménage, elle a trouvé un sou. Elle va pouvoir s'acheter de la viande. Oui, mais... pendant la nuit, un voleur aux accents de Rapetou et d'Ali Baba lui dérobe la moitié de sa pitance. Furieuse, elle file droit chez le juge préparer sa riposte. Attention ! la vengeance est un plat qui se mange froid !
Un classique en version turque !
"Il était une fois un crapaud et une tortue qui habitaient dans une oasis, au milieu du désert, et qui étaient très amoureux l'un de l'autre." Jihad Darwiche a écrit cette adaptation d'un conte féministe bien connu. L'auteur, conteur au style épuré, empreint de ses origines orientales, y apporte tout son sens du rythme et de la mélodie des mots.
Épuré, ce mot a trouvé écho chez Bellagamba. Submergé par la magie de cette ambiance nocturne et désertique, le sable et le bleu nuit se sont imposés à lui pour un résultat surprenant.
"Ce conte, raconté dans tout le Moyen-Orient sous des versions différentes, parle d'initiation. Pas la petite, mais la grande, la vraie, celle qui transforme le monstre en humain."* Farshid Shafiey, lauréat de la Pomme d'Or de la Biennale de l'Illustration de Bratislava en 2007, a illustré ce conte de dévoration. C'est sans aucun doute un travail remarquable dans les moindres détails. "Les illustrations donnent un ton drôle et léger à cette histoire de dévoration qui pourrait être effrayante." LA REVUE DES LIVRES POUR ENFANTS, sélection annuelle 2009, p 30.
*d'après Jihad Darwiche
"Excellente histoire inspirée du Kalila et Dimna : c'est le tout petit lièvre, intelligent et rusé qui mettra en difficulté et conduira même à la mort un lion paresseux, immonde dictateur, qui tient sous sa férule toute la population animale du coin. Très bien raconté. Texte bilingue. Illustrations pleines de couleurs et de mouvement. Un très joli livre à recommander." Revue des livres pour enfants n°226 Jihad Darwiche est conteur. Adapter à l'écrit les contes qu'il transmet oralement est une deuxième facette de son travail. Ici, c'est tout l'Orient qui s'invite à votre table.
Hassaan Ali Ahmed est un grand artiste soudanais. Les illustrations qu'il a composées, depuis son atelier du Caire où il vit désormais, sont totalement en phase avec le récit. La gamme chromatique est étonnante et les traits d'une assurance déconcertante. Rappelons qu'il a reçu à deux reprises le prix de la fondation japonaise Noma.
"Il est dit dans la sagesse des sages, que pour chaque maladie il ya un remède, sauf pour la bêtise car elle a rendu malade celui qui a tenté de la guérir." Ce proverbe arabe, calligraphié par Hassan Musa, illustre très justement ce conte écrit par Jihad Darwiche. Avec une économie de mots qui lui est propre, l'auteur captive et donne en partage ce conte très moral. Au style très épuré de l'un répond le foisonnement de l'autre. Ainsi Hassan Musa a mis a profit e travail pour explorer une technique de masquages et superpositions. Se jouant des couleurs, il applique à la calligraphie une technique hors des sentiers battus qui relève à priori plus d'un jeu d'enfant. Le résultat est pourtant sans conteste l'oeuvre d'un artiste, d'un calligraphe confirmé qui se joue de la conformité.
"On raconte que dans la ville d'Ispahan, en Iran, vivait une princesse, jeune et belle. Pour la garder près de lui, son père, le roi, trouva une ruse : il n'accepterait de la marier qu'à celui qui lui raconterait le mensonge le plus gros." Une farce subtile dans la droite ligne de la tradition orale.
"Ce conte est une fable sociale. Il parle de la peur qui nous saisit devant l'inconnu, devant un inconnu, fut-il un simple chat. Il dit comment cette peur peut grandir jusqu'à paralyser tout un royaume."* Un conte persan illustré, dans le respect de la tradition, par les patchworks d'un illustrateur iranien majeur de ce début de siècle.
*d'après Jihad Darwiche
Plus de 15 histoires traditionnelles de Nasreddine racontées aux plus jeunes. Gags, sottises, retournements de situation, burlesque poussé à l'extrême... derrière l'idiotie, il y a bien sûr une certaine sagesse ! Que Nasreddine nourrisse sa djellaba, qu'il se réjouisse de se faire voler sa viande, qu'il escroque sa voisine trop crédule, qu'il dégringole dans l'escalier... tout prête à rire ! "Dès 6/7 ans"