ÉDITION INTÉGRALEMENT INÉDITE Pendant longtemps, notre rugby a roupillé. En devenant professionnel, en 1995, il a opéré sa mue. Petit à petit, les contrats ont remplacé les élans d'amour, les sciences se sont imposées partout, et les joueurs, eux aussi, ont évolué. Les jeunes nés dans les années 2000 ne semblent pas connectés avec les mêmes fibres que leurs prédécesseurs. Ils font leurs passes sans s'affoler et tapent des coups de pied dans la sérénité.
En France, l'élite est devenue très difficile d'accès. Au sein des grandes compétitions, les femmes ont été accueillies dans une bouffée de joie, ce qui présage d'un avenir radieux.
Après le krach du professionnalisme, le jeu du rugby moderne a été bouleversé : partout dans le monde, on s'est mis à jouer de la même façon. Jusqu'à récemment, où tout s'est mis à bouger.
À l'aube de la Coupe du monde de rugby et de la grande fête olympique toutes deux prévues en France, où en est-on ? Je vous invite à suivre mon chemin de réflexion et à prendre la photo de mon rugby d'aujourd'hui.
ÉDITION INTÉGRALEMENT INÉDITE
Défier les distances, chanter à tue-tête, incarner la grâce. Inspirer le poète et questionner le scientifique. Flirter avec l'Himalaya et caresser l'océan. Être fragile comme un souffle et résister tel le phénix. Qui peut rester indifférent à l'oiseau ? Durant quelques belles décennies, j'ai eu le privilège qu'il m'invite dans son intimité. À ses côtés, j'ai partagé ses peines et ses joies. Il m'a enrichi de ses expériences, de ses valeurs aussi. À tire d'aile, il m'a convié dans la communauté des ornithologues et celle des amoureux de la nature. Ce « Dictionnaire amoureux des oiseaux » retrace une complicité exceptionnelle avec le peuple des airs. Il revisite aussi tant de combats et d'espoir. Il valorise les oiseaux les plus admirables, de même que ceux qui s'épanouissent en cohabitant à nos côtés.
Jamais autant qu'aujourd'hui la société ne s'est tournée avec enthousiasme vers l'oiseau. En quelques décennies, la Ligue pour la Protection des Oiseaux est passée de 3 salariés et 3 000 membres à 550 salariés et 65 000 membres. Le « birdwatching » devient un « sport national » pratiqué en famille. Les jardins s'enrichissent de nichoirs et de mangeoires. Partout l'oiseau s'invite dans notre quotidien. En découvrant l'oiseau, la société marche dans les pas de Léonard de Vinci, Maurice Genevoix, George Sand, Jacques Prévert et tant d'autres passionnés du peuple des airs qui trouvent légitimement leur place dans ce dictionnaire comptant près de 150 entrées.
À votre tour de picorer l'anecdote, de survoler l'histoire ou de vous poser aux côtés des merveilleux emplumés qui se donnent en spectacle.
L'ensemble suit la progression naturelle d'un repas : tout d'abord hors-d'oeuvre froids ou chauds, viennent ensuite les plats de résistance, poissons ou viandes, c'est selon, et bien évidemment il se termine par les desserts.
Expliquées avec clarté, détaillées avec précision, réalisables avec facilité, voici donc des recettes traditionnelles vraiment à la portée de tout le monde.
Comme tout bon cuisinier, Michel Oliver s'adresse à toutes les générations. Suivez attentivement les indications de chaque recette, vous ne pourrez qu'être enchanté du résultat obtenu : réussite garantie. C'est un livre de cuisine pour toute la famille, filles et garçons, petits et grands, parents et même grands-parents, tout le monde peut cuisiner.
Qu'un enfant de sept ans puisse réaliser une côte de porc aux pommes, qu'un adulte préalablement incapable de se préparer ne serait-ce qu'un oeuf sur le plat... réussisse désormais un soufflé au fromage ou bien encore des choux à la crème, voilà bien toute la qualité d'un livre à nul autre pareil et qui ne doit sa magie qu'à l'extrême simplicité de Michel Oliver.
« C'est en découvrant le parc de Versailles que je suis devenu un amoureux des arbres. Je n'avais certes pas attendu mon entrée dans la vie active pour les aimer, mais je ne les regardais pas attentivement, ils faisaient simplement partie de mon décor. Quand je suis devenu jardinier en 1976, il m'a été demandé d'en planter d'abord quelques-uns, puis beaucoup. C'est à ce moment-là que j'ai tout voulu savoir sur eux : leur terre natale, l'origine de leurs noms, les propriétés médicinales de leurs feuilles, la couleur des fleurs et la saveur des fruits.
Le monde des arbres est vraiment extraordinaire. Pas un mois ou presque sans apprendre une information sur ces végétaux capables de vivre mille ans et plus.
Les arbres m'ont transmis l'envie d'éternité. Ils m'ont donné comme pouvoirs la patience, la sagesse, et une idée de l'immortalité. »
Après le récent succès de Vital, le Dr Frédéric Saldmann publie une nouvelle enquête passionnante et riche de révélations et conseils à appliquer au quotidien pour vivre mieux et plus longtemps. Parce que l'hygiène de vie a un rôle majeur dans notre équilibre comme notre longévité, parce que l'énergie, le bonheur, le bien-être dépendent de la qualité de notre santé mais aussi de gestes quotidiens que l'on oublie de faire ou que l'on ne connait pas, cet ouvrage - qui s'appuie sur des recherches médicales inédites - donnera à chacun de ses lecteurs tous les atouts pour gagner la partie d'une vie aussi épanouie que réjouissante.
Nous n'avons plus le choix !
Aujourd'hui, les fous ne sont plus ceux qui annoncent l'apocalypse, mais ceux qui refusent de voir qu'elle a déjà commencé.
En 2100, si nous ne changeons rien, notre planète sera devenue inhabitable.
Face à l'éco-anxiété et à la résignation, des solutions existent. 10 révolutions simples et efficaces que Thomas Guénolé nous propose de mettre en place dès maintenant : transports écologiques, fin du tout-jetable, « plan Marshall » pour l'écologie...
L'auteur propose un nouveau modèle de société pour vivre avec les grands changements climatiques à venir dans les dix ans.
Oui, c'est urgent. Oui, c'est possible. Oui, c'est réalisable. Ce livre peut nous sauver !
La première ordonnance écologique.
Ce Dictionnaire amoureux contient à la fois de l'amour, des souvenirs, des admirations et des regrets. Il est la mémoire de ceux qui s'intéressent au football, et l'attendent tous les 4 ans, comme de ceux qui ne s'y intéressent pas, mais se souviennent être descendus dans la rue. Parce que la Coupe du monde est ce qu'il restera de ce jeu quand nous aurons oublié tout le reste.
Arpenter amoureusement la Coupe du monde, c'est plonger au coeur de la mythologie du football et de notre mémoire collective. On dit Coupe du monde, il n'est jamais nécessaire de préciser " de football ", et cette évidence en majesté, qui tient à l'antériorité comme à l'audience planétaire, oblige les autres sports à se décliner.
La Coupe du monde aura bientôt 100 ans et elle s'étend sur deux siècles qu'elle a participé à raconter. Elle ne s'est jamais écartée des tremblements ni de la marche du monde, visitant l'Italie de Mussolini en 1934, l'Argentin des généraux en 1978 ou la Russie de Poutine en 2018, refondant l'idée de la nation allemande avec le Miracle de Berne en 1954, affichant la force d'une France métissée en 1998.
Elle a essaimé des épopées collectives qui ont parfois reposé sur la victoire (le Brésil de 1970) mais parfois sur un esthétisme de la défaite (les Pays-Bas de 1974, la France et le Brésil de 1982) : Séville reste un nom de code et une douleur française. La Coupe du monde, aussi, surtout, a fixé les admirations sur quelques Dieux du stade et quelques héros de tragédie. Elle a fait de Pelé un roi, de Cruyff un prince, de Maradona un diable avec la main de Dieu, de Zidane une icône retirée sur un coup de tête. La Coupe du monde a fait le sport, le football et ses personnages. Elle est la première à être entrée dans le salon, en noir et blanc puis en couleurs.
j'ai longtemps arpenté les chemins d'ovalie, le territoire sans frontières des amateurs de rugby.
c'est un monde où l'on se rencontre plus qu'on ne se croise, et qui a tout d'une école de la vie. les codes s'acquièrent au fil du temps, sur le pré, dans les vestiaires, au fond d'un bus ou dans un bistrot, à l'ombre d'une potence de bière devenue arbre à palabres. il s'y raconte des légendes où s'affrontent les grands noms de notre panthéon, il s'y vit des épopées où des émotions brutales et intenses tissent entre les hommes des liens indéfectibles.
près de deux siècles après la naissance du jeu dans l'angleterre victorienne, novices et initiés partagent désormais une culture, faite de règles officielles et officieuses, d'un langage, de rituels, d'un patrimoine dont certains chefs-d'oeuvre sont en péril et, plus important que tout, un esprit ! ce dictionnaire vous invite amoureusement à pousser la porte du royaume. bienvenue en ovalie !
Loïck Peyron s'est attaché à dérouler pendant deux ans, à travers ce dictionnaire, les fils de sa carrière mais aussi à recoudre des destins oubliés ou passés sous silence. Peyron n'a jamais travaillé ni navigué en circuit fermé. Dès lors sa réputation, ses victoires, ses idées ont essaimé. Il est donc l'un des marins français dont la réputation a depuis longtemps dépassé les frontières hexagonales. Respecté tant en Nouvelle-Zélande, Australie, Suède, Grande-Bretagne que sur les côtes Est ou Ouest des États-Unis, il a couru sur tout ce qui flotte, des unités les plus lentes aux plus véloces. Il a connu le temps des pionniers des multicoques à la fin des années 70, les traversées en solitaire et les tours du monde en équipages. Ce dictionnaire amoureux est aussi un acte de foi d'un homme envers le large. Celle d'un ambassadeur accrédité auprès du large qui, après 42 ans, prendrait le soin de proposer au lecteur son appareil de vérité. Celui qui lui indique le nord magnétique.
Remarquable conteur, doublé d'un vulgarisateur hors pair, Loïck Peyron est capable de contextualiser les dernières avancées technologiques, les rendre compréhensibles à tous, et en même temps, avec ses mots durcis par l'expérience, d'une manière déliée, de raconter les permanences d'une vie passée sur l'eau et toujours sous-tendue par l'objectif de la compétition.
Ainsi à la fois sportif, certes, mais aussi remarquable récitant capable de faire reposer tout au long de ses 42 ans de carrière les grandes figures marquantes du large, telles Isabelle Autissier, Jean Maurel, Jean-Yves Terlain, Eric Tabarly, Mike Birch, Olivier de Kersauson et les auteurs qui l'ont marqué, notamment les Britanniques comme Cecil Scott Forester et Patrick O'Brian.
Pour Pema Chödrön, nos soucis et difficultés viennent d'une mécompréhension profonde de la psychologie humaine : croire que fuir l'inconfort pourrait nous apporter le bonheur est une erreur.
Il faut au contraire apprendre à accueillir l'incertain, ce qui nous gêne, ce qui nous rend vulnérable, pour le transformer.
Sur cette base, comprendre les autres, le monde, et les difficultés devient possible.
Au commencement, Dieu créa un jardin. Eden était son nom.
Depuis des millénaires, les hommes n'ont de cesse de chercher le paradis perdu. À défaut de le trouver et sans attendre le jugement dernier, ils créent partout où cela est possible des jardins et des parcs, de véritables reconstitutions miniatures du monde qui nous entoure. Dans ces espaces le plus souvent clos de murs, la nature est idéalisée : elle n'est pas représentée telle qu'elle est vraiment mais telle que le jardinier aurait aimé qu'elle soit : le jardin est philosophie. C'est pour cela qu'il alimente généreusement les écrits des plus grands et il suffit pour s'en convaincre de lire ou relire Victor Hugo, Chateaubriand, Colette ou encore Federico García Lorca, l'un de ceux qui a le mieux exprimé son ressenti pour le jardin : c'est un tabernacle de passions, c'est une grandiose cathédrale pour de très beaux péchés. Dans les jardins se cachent la mansuétude, l'amour, et cette sorte de vague à l'âme que donne l'oisiveté.
Si le jardin est philosophie, il est aussi un art de vivre. Que seraient Versailles, Villandry, Vaux-le-Vicomte sans cet écrin que sont les parcs ?
Pour sir Francis Bacon, le jardin est l'art suprême et le plaisir humain le plus pur.
Monet, Pissarro ou Fragonard ont su s'en inspirer pour nous offrir des chefs-d'oeuvre immortels.
Le jardin est aussi une religion : toutes les civilisations vénèrent les arbres, toutes les populations communiquent avec les dieux en leur offrant des fleurs ou des fruits.
« Je n'évoque dans ce Dictionnaire amoureux du vin que ce que je connais, j'aime et qui me passionne. Il y a de l'autobiographie, des lectures, des souvenirs de cuvage, de cave, de table... Voici cependant l'essentiel : le vin, c'est de la culture. La culture de la vigne, mais aussi de la culture pour l'esprit. C'est cette dimension culturelle d'un produit universel de consommation que ce livre a l'ambition de rappeler, dans un temps où le vin n'est pas bien considéré.
Peut-être s'étonnera-t-on que je parle souvent avec légèreté et amusement d'un sujet qui humecte notre bouche et notre âme ? C'est ma manière de le prendre au sérieux. J'ai le vin gai. Pourquoi mon encre serait-elle acide, revêche ou épaisse ?
Il existe une expression qui traduit bien le rôle social du vin dans notre pays : « vin d'honneur ». Ce Dictionnaire amoureux voudrait être un joyeux vin d'honneur. » B.P.
Pour la première fois, ce jeu diabolique révèle ce qu'il a toujours caché.
G.O.L.F. Oublier ce que l'on croit savoir sur ces quatre lettres et leurs idées toutes faites et toutes fausses. Comprendre ce qui se dissimule derrière cet exercice difficile, même s'il est enfantin: envoyer une balle dans un trou. S'il ne s'agissait que de cela! Il y autre chose. Mais quoi? Tout.
Les pratiquants cherchent quel verrou intérieur il fait sauter. Les autres ont peur, mais sont fascinés. Dans le Dictionnaire amoureux du Golf, ils vérifieront leurs pires soupçons. Dès qu'on y touche, on ne peut plus s'en passer.
Enfin, voilà un livre que liront tous ceux qui n'y jouent pas (encore).
?Passez un été historique ! Stéphane Bern vous invite à un fabuleux voyage dans les plus grands événements de notre histoire !
Des châteaux de la Loire aux fortifications de Vauban, des prédictions de Nostradamus aux perruques de Marie-Antoinette, en passant par les labyrinthes de Versailles et les favorites des rois de France, laissez-vous guider par le présentateur préféré des Français dans les couloirs discrets des siècles passés !
Mots croisés, sudokus, charades, mots codés, énigmes : apprenez en vous amusant !
"Ce livre dit la mer, il dit l'aimer, l'avoir toujours aimée : il ne dit pas toute la mer, vaine ambition d'un fou. Même la grenouille y regarderait à deux fois. Ce livre dit le vieil homme et la mer, la femme et la mer, une lutte contre soi, contre ses rêves, une quête à la vie à la mort de l'horizon ni près ni loin, une osmose avec les éléments dont l'être humain fait partie - s'il n'est ici-bas le maître du jeu. Ce livre dit la mer et les marins, les écrivains, les travailleurs du grand métier, les artistes charmés, charmeurs, les damnés du poisson. Il dialogue avec l'univers par-dessus les jours et les flots. C'est un coquillage où l'on entend, j'espère, battre le pouls du verbe aimer. Ce livre raconte une histoire océanique, la mienne, il ne prétend jamais connaître la mer ni la réduire à ses cadenas, ses tics, l'exhiber à travers les mots comme une bestiole de foire. J'aime la mer et je m'en souviens, j'y vais, je vous emmène avec moi. J'en suis natif comme tous les êtres vivants de terre et d'eau, je vous fais part de cet amour plus vaste que ma voix, plus humble que mes songes.
Un voyage, oui, autour du monde intérieur que je m'efforce d'encercler quand je prends la mer ou mon stylo. Quand je perds la raison à la barre d'un voilier qui ne réagit plus au vérin du « pilote », et perd la raison lui aussi. Quand une île heureuse vient à moi, donnée comme un livre de vie. Quand c'est crado, les ports, les grèves, les abysses, les gens du fric, quand elle gâche tout, la pollution, quand il étouffe, le corail d'Australie, des Antilles - ou qu'il renaît, squelette radieux. Quand il n'y a plus rien à dire tellement c'est beau, la mer, infiniment beau, et que l'on n'est pas seul au bord de cet infini. Aimer la mer, c'est au minimum être deux, être tous. Aimer la mer c'est « être » - c'est vivre."
L'association de l'écrivain Laurent Binet et du sportif Antoine Benneteau a tout de l'attelage complémentaire et du double gagnant. Laurent Binet apporte sa vision d'amateur passionné porté aussi bien sur l'analyse structuraliste et la déconstruction que sur le registre épique (voire héroïcomique) ; Antoine Benneteau nous fait partager sa connaissance du milieu ainsi que sa science du jeu, et nous fait vivre de l'intérieur la vie du circuit professionnel.
Ex-joueur professionnel, Antoine Benneteau est le frère et fut le coach de Julien Benneteau, ancien 25e joueur mondial et aujourd'hui capitaine de l'équipe de Fedcup (vainqueur de l'édition 2019). C'est lui qui a contacté Laurent Binet pour lui proposer ce projet de dictionnaire, après avoir lu la Septième fonction du langage (où l'une des scènes se déroule lors de la finale de Roland-Garros 1981). Laurent Binet avait, quant à lui, déjà couvert Roland Garros en 2016 pour le journal L'Equipe.
Au hasard de l'ordre alphabétique, Frédéric Vitoux nous invite à : - Une promenade littéraire, de La Fontaine à Céline, de Chateaubriand à Colette, de Baudelaire à Malraux etc. etc., auprès de tous ceux qui ont aimé les chats, ont écrit sur les chats ou vécu en leur compagnie...
- Une évocation des chats dans l'art ou des chats en musique, des chats peints par Picasso ou chantés par Rossini...
- Des souvenirs personnels, car peut-on parler des chats si l'on n'est pas depuis longtemps l'un de leurs intimes ?
- Une recherche de l'origine des chats dits domestiques qui se sont rapprochés de l'homme il y a près de dix mille ans et sont apparus en Égypte il y a près de cinq mille ans.
- Des évocations historiques sur la place des chats dans nos sociétés, parfois adulés et parfois martyrisés comme représentants du diable...
- Les plus belles citations inspirées par les chats - Un portrait des différentes races de chats.
L'auteur aimerait que le lecteur ouvre le livre un peu au hasard, pour aller de surprises en surprises, de portraits en anecdotes. Qu'il devienne complice en somme de cette promenade qui relève aussi de la plus haute civilisation car l'homme ne s'est vraiment civilisé que quand il a accepté le chat à ses côtés.
Plongez dans le premier cahier de vacances Paris Match !
Quoi de mieux pour vous détendre que de revivre les grands événements des dernières décennies ?
Quiz sur l'histoire, devinettes de culture générale, mots mêlés sur la science ou rébus politiques, révisez l'histoire récente et redécouvrez le destin de célébrités légendaires, d'Audrey Hepburn à Thomas Pesquet, en passant par Brigitte Bardot ou Nelson Mandela.
Passez en famille un été ludique et instructif avec Paris Match.
À vous de jouer !
C'est le moment idéal pour en apprendre un peu plus sur votre compagnon à quatre pattes qui vous accompagne pendant ce temps des vacances !
Qu'il ronronne, qu'il aboie, qu'il se gratte, votre fidèle compagnon n'aura plus aucun secret pour vous. Mots croisés, sudoku, charades, mots codés, énigmes, testez vos connaissances tout en vous amusant.
La célèbre vétérinaire Laetitia Barlerin nous fait partager des astuces très pratiques, des conseils toujours utiles pour vivre bien avec nos animaux de compagnie.
« J'ai longtemps arpenté les chemins d'Ovalie, le territoire sans frontières des amateurs de rugby. C'est un monde où l'on se rencontre plus qu'on ne se croise, et qui a tout d'une école de la vie. Les codes s'acquièrent au fil du temps, sur le pré, dans les vestiaires, au fond d'un bus ou dans un bistrot, à l'ombre d'une potence de bière devenue arbre à palabres. Il s'y raconte des légendes où s'affrontent les grands noms de notre panthéon, il s'y vit des épopées où des émotions brutales et intenses tissent entre les hommes des liens indéfectibles. Près de deux siècles après la naissance du jeu dans l'Angleterre victorienne, novices et initiés partagent désormais une culture, faite de règles officielles et officieuses, d'un langage, de rituels, d'un patrimoine dont certains chefs-d'oeuvre sont en péril et, plus important que tout, d'un esprit ! Ce dictionnaire vous invite amoureusement à pousser la porte du royaume. Bienvenue en Ovalie ! » Daniel Herrero.
Nouvelle édition entièrement revue, augmentée et mise à jour.
" J'ai sept ans et je parle tout seul parce que je suis effrayé et parce que je suis le seul qui veuille bien m'écouter.
Je murmure entre mes dents. Abandonne, André, laisse tomber. Pose ta raquette et va-t'en de ce court, immédiatement. (...) Est-ce que ce ne serait pas une bonne idée ? Est-ce que ça ne ressemblerait pas au paradis, André ? De laisser tomber? De ne plus jamais jouer au tennis? " André Agassi déteste le tennis. Il a joué pendant vingt ans, poussé par un père tyrannique, s'est battu, porté par la rage de vaincre, il a gagné souvent, échoué parfois, mais surtout il a toujours électrisé les foules.
Et l'engouement du public pour l'athlète doit beaucoup à l'homme qu'il est, son charisme et sa force, sa vérité. Et c'est ainsi qu'il se livre ici, sans concession ni masque, sulfureux parfois, humain surtout. De ses erreurs à ses conquêtes, du chaos punk des années 1980 à sa Fondation dédiée aux enfants défavorisés, le " kid de Las Vegas " revient sur son parcours extraordinaire, celui d'un homme qui a choisi d'utiliser son succès pour changer le monde.
Fascination, émerveillement, peur, joie, fierté, beauté, paix, sacré, jubilation, découragement, triomphe, souffrance, frustration, injustice, voire horreur ... la montagne suscite tour à tour ces sentiments puissants. Placez un gamin de trois ans au pied d'un tas de gravier ou d'un gros caillou : son premier réflexe sera d'y grimper. Formidable terrain de jeu et d'émotions, la montagne réveille l'enfant qui est en nous. Pourquoi y allons-nous, au prix d'efforts toujours, de souffrances souvent et, pour certains même, de leur vie ? « Parce qu'elle est là » disait l'inoubliable amoureux de l'Everest, Georges Mallory. Jolie échappatoire, que j'aurais volontiers complétée par un « parce que je suis là » ! Tant il est vrai que l'on n'escalade jamais que sa montagne intérieure. Frédéric Thiriez emmène le lecteur dans une promenade amoureuse, à travers ces lieux magiques, ces légendes, ces héros, ces mystères, ces sensations qui font la montagne, mais aussi les drames, les mensonges et les querelles qui l'entourent.
« En expliquant ici de manière simple, précise et sans jugement culpabilisateur les clés d'une véritable éducation fondée sur la bienveillance, Marie-Jeanne Trouchaud apporte un éclairage essentiel à tous les parents qui souhaitent que leurs enfants aient toutes les chances de devenir des adultes heureux, autonomes et respectueux. Merci à elle pour ce cadeau précieux ! » Frédéric Lenoir Aujourd'hui, grâce à l'avancée des neurosciences, nous avons la possibilité de comprendre comment nous adapter à la réalité d'un bébé, à son comportement, afin qu'il devienne un être développant le meilleur de lui-même.
L'apprentissage de la confiance en soi, de l'épanouissement, du relationnel, de l'empathie est la base que nous pourrions tous offrir à nos enfants et ainsi construire une société du mieux-vivre ensemble. Il en va de notre responsabilité individuelle et collective.
Et si, nous les humains, on s'invitait chez les bêtes ? Chez les chiens, les chats, les rats, les vaches, les sangliers, les gorilles, les pieuvres, les requins, les corbeaux, les moustiques, les frelons, sans oublier les microbes ? Tous ces animaux nous sont familiers : nous pensons les connaître parce que nous les côtoyons ou parce que nous avons appris de leurs vies dans nos livres et à la télévision. Mais, forcement, nous sommes loin du compte. Les scientifiques qui les étudient découvrent tous les jours de nouvelles habiletés, intelligences et savoir-être animaux, de quoi nous rendre un peu jalouses, nous, les bêtes humaines !
Ce livre raconte la vie de 12 animaux, 12 compagnons de planète, 12 personnages remarquables par leur passé évolutif, leurs biologies, leurs compétences, leurs capacités cognitives. Chaque histoire est racontée de leur point de vue, autant qu'il est possible de la part d'une représentante de l'espèce humaine. Mais l'anthropomorphisme n'empêche pas d'entrer en empathie et de mener une enquête de science qui s'appuie sur les derniers résultats de la recherche animale. Partez donc à la rencontre des poulpes du Jurassique, des sangliers berlinois, du moustique du métro de Londres, du chien Quiqui sous la mitraille de Verdun, d'Oscar le chat qui s'allongeait sur le lit des mourants ou de T. Gondii, le parasite manipulateur de cerveaux. Un passionnant bestiaire !