À propos

Dans ce livre incroyable, Picabia se moque de tout, y dézingue tout. S'il y met à mal les idées, les sentiments, les principes, les conventions, déconstruit la réalité, rit de tout et de rien, et même de lui, c'est que jouer c'est vivre, autant que aimer ou travailler. Un véritable livre de chevet impertinent, construit de fulgurances poétiques teintées de dérision, profondément imbibées de nihilisme qui dérangent autant qu'elles amusent. Sans aucun doute le grand texte de Dada à Paris et le chef-d'oeuvre littéraire de Picabia, dont il est à l'image : brillant, scandaleux, provocateur, désinvolte. Ridiculisant l'art et les artistes, la littérature et les écrivains, les bourgeois et les poètes, rejetant toute forme d'autorité, Jésus-Christ Rastaquouère est exemplaire de l'esprit du moment.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Francis Picabia, Georges Ribemont-Dessaignes

  • Éditeur

    Éditions Allia

  • Distributeur

    Harmonia Mundi

  • Date de parution

    01/02/2018

  • Collection

    Petite Collection

  • EAN

    9791030408249

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    64 Pages

  • Longueur

    17 cm

  • Largeur

    10 cm

  • Épaisseur

    0.5 cm

  • Poids

    70 g

  • Diffuseur

    Harmonia Mundi

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Francis Picabia

Peintre, graphiste et écrivain proche des mouvements Dada et surréaliste, Francis Picabia (22 janvier 1879-30 novembre 1953) est à l'origine de plusieurs recueils de poésie, écrits critiques et correspondances, et a su s'imposer comme un auteur drôle et surprenant, n'ayant cessé de se réinventer au sein des avant-gardes du 20e siècle.

Georges Ribemont-Dessaignes

  • Naissance : 1-1-1915
  • Décès :1-1-1974 (Mort il y a 51 ans à l'âge de 59 ans)

Georges Ribemont-Dessaignes est un écrivain, poète, dramaturge et peintre français. En 1915 à Paris, il est l'un des précurseurs du mouvement « Dada ». On dira de lui qu'il avait écrit « le seul théâtre dada, la seule musique dada », anticipant dans ces deux domaines les développements ultérieurs des thèmes de l'absurde et du recours à l'aléatoire. Rejoignant ensuite le surréalisme, il rompt dès 1929 avec André Breton. Il se retire en 1947, et se consacre à la peinture. Il meurt en 1974

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